Jean-Pierre A DEMURGER
Manager international expérimenté avec un haut degré d’intégrité et de loyauté, je suis intéressé pour développer des sociétés, même en situation difficile, et faire face à de nouveaux challenges.
Consultant en : – Apport de solutions dans des situations complexes
– Organisation :
– Modern / digital sales – marketing
– Manufacturing
– Administration
– Stratégie d’entreprise
– Finances
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Le chômage! Je sais comment réduire le chômage
Ceci peut paraître très prétentieux, mais à force d’observations, de voyages, de confrontation d’idées, j’ai trouvé une méthode qui peut fortement réduire le chômage, tout en rencontrant l’adhésion de la population, et ceci de manière démocratique.
Cette méthode a un caractère universel et peut-être utilisé partout.
L’économie mondiale, la mondialisation, reposent sur un paradigme simple “bigger is better”. Ce paradigme permet avec une vision gestionnaire, la réduction des coûts, l’amélioration de la qualité, la compétition, qui directement ou indirectement réduit les effectifs,
À l’inverse, face à la destruction d’emploi, la création d’emploi se fait par le développement de nouveaux concepts, de nouveaux produits, de nouveaux services, ainsi que l’ouverture à la concurrence de services anciens. On peut même imaginer que dire bonjour à quelqu’un, signe de politesse simple, deviendra un jour payant. Devenu ainsi payant ce service participera au PNB.
Les experts si coutumier de la connaissance de l’économie mondiale de la mondialisation ont cette vertu de systématiquement se tromper. Mais c’est toujours qu’on écoute essaie de les experts qui décident quel produit sera porteur, sur lequel investir, ignorant volontairement le tragique et le comique de la vie qui fait que par nécessité ou par hasard, l’innovation provient de n’importe quel endroit sans forcément la chercher ou en cherchant quelque chose d’autre que l’on n’atteint pas.
Pour financer cette innovation, les investisseurs, les banques se basent sur l’avis de ces mêmes experts et si par hasard vous ne remplissez pas un certain nombre de critères décidés par ces mêmes experts, votre innovation bonne ou mauvaise, porteuse ou non de développement sera ignorée.
Ce même paradigme vous enverra le message ;
1 qu’il faut persévérer
2 que c’est votre faute si vous n’avez pas trouvé le bon interlocuteur, sachant par ailleurs que le système d’information aura une tendance certaine à vous éliminer. L’investisseur est très moutonnier dans son comportement. Il faut trouver le premier, les autres suivent.
Une fois que vous aurez avec grand-peine développé une partie bien sélectionnée de votre produit ou de votre service, ce même système récupérera à son profit, celui des investisseurs et des banquiers, les résultats de ce produit.
Si ce produit ne marche pas c’est vous l’innovateur qui supporterez les pertes.
Si ce produit fonctionne vous serez payé par ces grands groupes qui récupéreront l’innovation.
La boucle et ainsi bouclée, dans une consanguinité parfaite, sous forme de vampirisation de l’innovation et de l’innovateur. Si vous n’êtes pas le bon produit, la bonne personne, au bon endroit, avec la bonne information, pour les bons investisseurs et les bons banquier, avec le bon discours, votre chance de percer est entre nulle et epsilonesque.Pour arriver à être le bon produit la bonne personne au bon endroit avec la bonne information pour les bons investisseurs et les bons banquier avec le bon discours vous devrez payer les services de bons consultant qui vont vous apprendre comment trouver les bons avocats, les bonnes personnes pour développer votre produit tout cela nous aura coûté un paquet d’argent en sachant qu’au final, à un moment ou à un autre, vous serez dépossédé de votre innovation.
Maintenant il y a un autre problème il semble émerger un peu partout dans les pays c’est celui de l’immigration d’un point de vue gestionnaire l’immigration viens du succès du système politique d’un pays je n’ai à ce jour vu personne immigré avec plaisir dans une dictature bien évidemment ce sont les pays ayant réussi qui attire les immigrés et d’un point de vue moral on ne peut pas vouloir aux personnes qui décide immigré pour s’assurer une meilleure vie
Là encore le raisonnement avec ce même paradigme qui, a taille de gâteau constant ou en réduction, veut qu’il soit difficile de le partager, il faut donc le faire grossir, grandir, et pour cela, créer de nouveaux produits, de nouveaux services.
Ces mêmes experts ne savent investir que dans des produits qui leur apporteront plus d’argent tout en diminuant le nombre d’emplois.
Le paradigme “Small is beautiful”, ne résout pas plus ce paradoxe.
Ce sont des injonctions paradoxales et il est très visible que ce paradigme “bigger is better” ne permet pas de le résoudre et notamment il profite plutôt d’un chômage important pour faire baisser les coûts de production de la création d’emploi
Ne pouvant investir moi-même dans le système que je propose pour résoudre le problème du chômage, donc de la création d’emploi, donc de l’augmentation du PNB, donc de la résolution également de la crise migratoire, je cherche des partenaires.
Je comprends bien qu’ici, je ne donne pas d’information sur le système lui-même. Je le protège pour l’instant ainsi mais si des partenaires sincères quoique la sincérité en affaire soit de l’ordre de la naïveté je suis d’accord pour aller plus loin avec eux. Je les remercie de prendre contact.
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